Monteverdi a chanté Ulysse, et Verdi les forces du destin, pour ce que ces derniers contiennent de contraste et d'intensité : des hauts qui culminent, et des bas qui vont jusqu'en enfer.
Sans aller jusqu'à comparer DSK à Ulysse, et encore moins PETER P à Monteverdi, acceptez néanmoins que le second tente d'offrir une transcription musicale de la gloire et des déboires du premier, en composant une suite de péripéties qui vous surprendra sûrement par son imprévisibilité.
Ne voyez donc aucune ironie dans le titre de ce morceau, et gardez à l'esprit que la musique est une chose sérieuse, bien plus que la politique.
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