Puisse le bonheur être égoïste, qu’il aille se faire foutre. Pas plus ravi qu’un boulonnais au lit, il ne suffit pas de souhaiter des cents et des mille pour s'accommoder du temps qui passe. Vieillesse ennemie ? Oui, sauf quand on est gardien de but. Et encore, ça mérite une bonne dose de tact.
Du bonheur, donc. À ne plus savoir qu’en faire, quitte à en refiler au premier boulanger venu comme un vulgaire virus immuno-déficient, La dernière fournée en moins, évidemment. Et pas trop cuite, siouplait.
Quoi, le bonheur ? C’est qu’il commence sérieusement à nous gonfler, celui-là. Pas plus tard qu’hier matin, une vague connaissance m'expliquait le sens de la vie, à plus ou moins grande marée. J'ai évidemment rien compris, mais j’ai bien ri. La vie bonne, la mort digne, “la digueuh, la digueuh” (andante). Et puis, encore lui.
Allons bon. Encore en train de chercher à tripoter les trimolaires des glandes natalistes du bas-ventre, celui-là. Pourrait pas nous laisser tranquille, non ? “Vivons heureux, allons manger” aimait jadis à (ré)clamer Ronald. J’ai bien envie de lui donner raison : j’ai faim, et y’a pas moyen. Et je dis ça en toute justification, hein.
Tout ça pour dire que les bonnes résolutions sentent carrément le pâté, cette année. Impérial ou pas d’ailleurs. Alors, je ne saurais trop vous recommander un petit verre de gris, du Jura, de Bagnolet, où que sais-je. L’important, c’est de participer. Et puis, si les Mayas avaient raison, ils auraient inventé le porte-sauce Mayo.
Tiens, j’ai encore faim.
K.D - Rupture de stock, mais y’a du rab’.
Du bonheur, donc. À ne plus savoir qu’en faire, quitte à en refiler au premier boulanger venu comme un vulgaire virus immuno-déficient, La dernière fournée en moins, évidemment. Et pas trop cuite, siouplait.
Quoi, le bonheur ? C’est qu’il commence sérieusement à nous gonfler, celui-là. Pas plus tard qu’hier matin, une vague connaissance m'expliquait le sens de la vie, à plus ou moins grande marée. J'ai évidemment rien compris, mais j’ai bien ri. La vie bonne, la mort digne, “la digueuh, la digueuh” (andante). Et puis, encore lui.
Allons bon. Encore en train de chercher à tripoter les trimolaires des glandes natalistes du bas-ventre, celui-là. Pourrait pas nous laisser tranquille, non ? “Vivons heureux, allons manger” aimait jadis à (ré)clamer Ronald. J’ai bien envie de lui donner raison : j’ai faim, et y’a pas moyen. Et je dis ça en toute justification, hein.
Tout ça pour dire que les bonnes résolutions sentent carrément le pâté, cette année. Impérial ou pas d’ailleurs. Alors, je ne saurais trop vous recommander un petit verre de gris, du Jura, de Bagnolet, où que sais-je. L’important, c’est de participer. Et puis, si les Mayas avaient raison, ils auraient inventé le porte-sauce Mayo.
Tiens, j’ai encore faim.
K.D - Rupture de stock, mais y’a du rab’.
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