Le moins que l'on puisse dire c'est que J.L.L. a du flair.
En premier lieu, j'avais déjà scandé trop fort sous le rythme d'un Cuba libre
le 4 avril 2008 : "Pauvre Ben*, avec ce qu'ils vont lui mettre, il Laden le cul..." (Washington Post, édition en date du 5/04/2008).
Voilà qu'hier, Chantal Jouanno me confiait son analyse " Avec cette histoire le foot est cramé, tu verras qu'on l'appelera Laurent Noir...", le champ lexical de J.L.L. n'a donc plus de frontière.
Je me suis dit qu'il serait peut-être temps qu'on arrête de nous prendre pour des cons, le King n'est jamais mort, el vis encore.
J.L.L. fatigué de devoir expliquer aux autres que sa vision du monde est de loin la meilleure. Santé !
*en français dans le texte
Des nouvelles du front c'est le décryptage de l’actualité par le poignant J.L.L. tous les lundis et jeudis
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